Une rentrée de plus pour tous, même sans calendrier, il serait facile de le savoir : les visites du site sont reparties de plus belle.
Belles également les consignes passées en boucle et qui disent en substance de se laver les mains plusieurs fois par jour au minimum avec du savon. Mais que dire quand ce minimum devient un maximum ?
Combien d’installations sanitaires, que ce soit dans des établissements publics (les écoles en particulier), dans certaines entreprises, dans les lieux semi-publics (café, restaurant, ...) ne sont pas dignes de ce nom ?
Si seulement ce pouvait être l’occasion de repenser ces lieux partagés, qui traumatisent plus d’un enfant. Les médias avaient ainsi pu relayer l’année dernière le fait que nombre d’écoliers se rendaient malades, aussi bien à refuser d’aller qu’à aller, dans des toilettes sales, sans papier, sans loquet, avec un lavabo mais sans savon et pas vraiment de quoi s’essuyer les mains.
Songeons que ces lieux sans réelle hygiène (hygiène dont on agite la pressante nécessité en ces temps de pandémie potentielle) sont aussi trop souvent des lieux où les plus courageux (ou les plus assoiffés) viennent se désaltérer...
Un modèle du genre existe pourtant : le Japon.
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