association internationale et non politique réunissant des scientifiques, économistes,professeurs, des fonctionnaires nationaux et internationaux et industriels de 53 pays, préoccupés des problèmes complexes auxquels doivent faire face toutes les sociétés, tant industrialisées qu’en développement.
Fondé en 1968 à l’initiative d’Aurelio Peccei (Italien membre du conseil d’administration de Fiat) et d’Alexander King (scientifique et fonctionnaire écossais) ancien directeur scientifique de l’OCDE, il doit son nom au lieu de sa première réunion à Rome, à l’Accademia dei Lincei.Le rapport Meadows (1972), commandé par le Club de Rome a été suivi en 1974 d’un deuxième rapport intitulé « Sortir de l’ère du gaspillage : demain ».
Depuis, il a produit plus de 20 publications dans une série appelée « Rapports du Club de Rome ». La notion de développement durable et d’empreinte écologique font du Club de Rome un précurseur. Si, au XXIe siècle, la majorité s’accorde à prendre en compte les problématiques environnementales, d’autres n’acceptent pas ces analyses qui impliquent beaucoup de remises en question. Ils s’en prennent parfois au Club de Rome, à l’origine de ce qu’ils pensent être du catastrophisme.
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