A l’occasion de la journée citoyenne, l’Ecole invitait à envoyer des poèmes autour d’une thématique imposée : les discriminations.
Dans les modalités d’un atelier d’écriture auto-imposé de quelques minutes, trois petits textes sont nés.
Ça nous mine
La place du crime
n’est pas celle de la nation.
Il y en a dix, il y en a cent,
il y en a trop.
A Tahiti
Le roulement des "r"
importe peu.
Et c’est même mieux.
Ta tête comme un étendard
d’une lutte immortelle hélas
Où ton rire pourrait vaincre.
Tant pis pour les fâcheux.